Before I start, I must make it clear that I have nothing against them: Public transports are more than essential to life in a metropolis. But, I hate them during rush hour… And I cannot avoid them right now because I have no bike.
No bike means no freedom to catch a few extra ZZZ’s in the morning, or to rush a bit to get a café croissant on the way to work, or going flat out to make up lost time. It means not being able to meet my mum at noon when she passes by Paris without taking a bus, and having to keep an eye on my watch. Not being able to do a quick sprint to get some important stuff before the shop closes or to get that urgent letter into Paris because we missed the local Post Office cut off. Not being able to choose at what time, speed and itinerary I take going home.
But most of all it means I lose all freedom to do what I want with the 90 minutes I lose every day in public transports.
Les transports en commun.
Avant de commencer, je veux que ce soit clair que je n’ai rien contre : Les transports en commun sont plus qu'essentiel dans une métropole. Mais je les déteste aux heures de pointes… Et je ne peux les éviter car je n’ai pas de vélo.
Pas de vélo veux dire pas de liberté de roupiller un peu le matin, ou être plus actif et chopper un café croissant sur la route, ou rouler à bloc pour compenser du temps perdu. Cela veux dire ne pas pouvoir voir ma mère à midi quand elle passe par Paris sans prendre un bus, et à avoir a constamment surveiller ma montre. Ne pas pouvoir se taper un petit sprint pour faire une course importante avant que les magasins ferment, ou d’emmener un pli important à la Poste centrale car nous avons raté la levée. Ne pas pouvoir choisir l’heure, la vitesse et l’itinéraire que je prends pour rentrer.
Mais plus que tout, cela veut dire que je perds toute liberté de faire ce que je veux avec les 90 minutes que je perds dans les transports.
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